Comment est-ce que je pourrais écrire une lettre de présentation qui n’a ni l’air d’une demande d’emploi, ni d’une bio Tinder et qui saura expliquer à des inconnus ce qu’est La lettre gourmande et cette idée d’écrire sur la nourriture, le vin, les restos, le marché Jean-Talon, le Vinvinvin, autant que Chez Claudette, avec de belles lettres?
Inspiré par la soirée d’anniversaire dégénérée d’une amie au Café Parvis, j’ai écrit le printemps dernier un premier récit à partir de quelques notes que j’y avais prises. Cette soirée-là, j’ai découvert le potentiel littéraire de l’univers culinaire.
Avec La lettre gourmande, j’explore cette matière littéraire et j’envoie des récits, des essais, des fictions, bref des écrits dont l’inspiration provient du culinaire. J’y parle bien sûr de vin, de bouffe, de cafés : c’est un point de départ, d’arrivée ou de passage ; dans tous les cas, ça se trouve quelque part dans le texte. Je pense qu’un bon plat du Pichai mérite de beaux mots, que l’excellent Gamay versé au Mamie mérite les belles tournures, que les soirées les plus mémorables méritent d’être mises sur papier, et d’être partagées. Voilà une esquisse de ce qu’est La lettre gourmande.
Je vous invite à embarquer dans cette correspondance qui débute maintenant. Le projet est autofinancé et je propose à mon lectorat un support facultatif au niveau du coût d’un cappuccino par mois (5$) afin de me permettre de piocher dans la matière culinaire et de pouvoir vous en faire parvenir les fruits littéraires. L’inscription gratuite vous donne accès à deux lettres par mois, qui se tailleront une place dans votre boîte courriel le mardi. En soutenant le projet, vous recevrez une lettre additionnelle par mois, un foodboard bi-mensuel et serez sur la liste d’invitation de soirées gourmandes!
Merci de me suivre et bonne lecture!
Lisez gourmand,
Thomas